Gestion des risques dans une crise post-financière mondiale

Une chose que la crise financière a montrer en relief clair, c'est que parmi les nombreux facteurs contribuant, il peut y avoir aucun doute que la gestion du risque n'a pas bien gérer les risques. Pourquoi ce fut en est ainsi sera l'objet de nombreux débats dans les mois et années à venir. Étaient des gestionnaires des risques limités par la suite la direction qui ne voulait pas entendre les avertissements, ou étaient les gestionnaires des risques ne répondant pas ou même pas en mesure de répond


Maintenant, tout d'un coup, que les économies de nombreux pays, sans oublier le secteur bancaire, est en lambeaux, nous avons des dizaines d'articles et de blogs tous déplorer l'état de la gestion des risques et ce que nous devons faire pour obtenir tout de nouveau à droite ; comme s'il y avait un élixir, ou une baguette magique qui va tout mettre à droite.



Tous ces blogs et articles sont loin battre le tambour même vieux, tous sont de documenter à quel point tout le monde a fait dans la gestion des risques et de tous vantent les conseils de la Banque, les cadres supérieurs, les régulateurs et les agences de notation de faire mieux la prochaine fois.



Où étaient tous ces auteurs et des blogueurs dans les bons moments? Où étaient-ils dans les beaux jours avant l'été 2007, lorsque les banques et le reste de l'industrie financière a été gaiement suppléant si le seul moyen d'avancer est "up", lorsque la "vieille" économie avait été déclaré mort comme un dodo et le mantra de la «nouvelle économie» a été «bénéfices», des «primes» et «innovation». Comme la «vieille économie», «risque» dans toutes ses formes a, par l'invocation de toutes les opérations de couverture de nouvelles stratégies et dérivés été déclarés morts aussi.



Certes il ya eu quelques (trop rares) qui a sonné où les avertissements de ce qui se passait à la fin - mais qui veut un Jonah au milieu d'eux quand il ya une fête de plage sans fin sur la route?



En tant que praticien de gestion du risque professionnel et formateur, je me sens vraiment lésé avec toute l'âme de la recherche et de serrements de main passe à l'heure actuelle. Dites-moi s'il vous plaît où tous ces convertis nouveau risque aversion sont venus? Où étaient-ils quand ils ont vraiment besoin?



Maintenant que la partie est enfin terminée, il est temps de faire les choses correctement. La gestion des risques dans la première décennie du 21e siècle a échoué lamentablement. Le ton au sommet était pourrie, que ce soit dans les banques ou les organismes de réglementation ou les évaluateurs des risques eux-mêmes. Et cette pourriture imprégnait tout le chemin vers le bas de la pile.



Quels ont été les échecs?

modèles de risque L'absence de mesure du risque - ont été mal utilisés, mal formulé et surtout mal compris.



L'échec dans la formation - conseils bancaires et les régulateurs ne sont pas suffisamment instruits de ce «risque» signifie vraiment. personnel de la Banque n'a été formés dans les trois P - produit, la performance et le profit. Des questions comme la concentration des risques planification de scénarios, des pannes de fonctionnement sont des notions qui ont fait seulement un son intelligent. Le pire de tout - de l'argent frais de gestion des risques et bien sûr "des coûts injustifiés" sont le fléau de tous les diligent (mais pas prudent) banquier.



L'échec d'atténuer les risques - sans comprendre le risque qu'il ne peut pas vraiment être mesurée et sans mesure, il ne peut pas être atténués. Ces facteurs sont reliés entre eux. L'un mène à l'autre.



Assez de cette serrements de main! Nous savons tous où se trouve la faute. Qu'est-ce qu'il faut maintenant, certains gestionnaires de risques courageuses qui retroussent leurs manches et faire le travail - bien cette fois.